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Réunion
6 : Nos services publics
de
marina1982@yahoo.fr le 3.12 à 16h54 J’ai 25 ans et je suis de Tarbes. Après mes études que je viens de
terminer, j’ai eu la chance de trouver un petit boulot, pour le moment
je l’espère, afin de subvenir à mes besoins. Mais à Tarbes, les jeunes
ne sont pas soutenus. Vous parlez dans votre diaporama du BIJ et du
besoin de le moderniser. Mais cela doit aller plus loin car avec cette
municipalité, le BIJ s’est retrouvé enclavé dans une rue sombre, isolé,
dans des locaux qui ne donnent pas envie aux jeunes d’y allés, quand
ils savent où ils se trouvent car souvent les étudiants tarbais qui ne
sont pas de la région ne savent même pas qu’il y a un bureau qui leur
est réservé. Le service aux jeunes soit être intense à Tarbes avec un
bureau bien placé (rue Foch ou place de Verdun), où des services sont
offerts pour la création de CV, la recherche d’emplois, de logement,
avec des espaces multimédias, de conseils, bref, un lieu ouvert, avec
un personnel qualifié et jeune car des jeunes qui parlent aux jeunes
c’est mieux. Voilà ce que je pense car l’avenir de Tarbes c’est aussi
les jeunes si on ne veut pas que cette ville devienne une station
balnéaire pour séniors aisés car si vu le prix des logements…
De
quesaquo@hotmail.com le 1.12 à 21h42
bjr,
vos pistes de
réflexion sur les services publics sont intéressantes.
Mais ne pensez-vous pas que la création d'un BIS Sénior ne viendrait
pas faire doublon avec le CLIC de Tarbes?
Par ailleurs, tout à fait d'accord avec votre définition de ce qui fait
l'essence même du service public. Une remarque: stabilité du personnel
municipal, voudrait-il dire régularisation massive des emplois aidés,
précaires et contractuels actuels? Si telle est l'idée, là par contre
je ne vous soutiens plus: faire ainsi va grever les marges de manoeuvre
financières peu importantes dont dispose la mairie pour investir sur
les nécessaires grands projets, et ça risque de vous contraindre à
devoir augmenter les impôts pour couvrir la dépense. Moi je dis non,
non et non: à droite comme à gauche il faut apprendre à respecter ceux
qui triment toute l'année pour payer des impôts plus que conséquents au
regard de leur niveau de vie pourtant pas vraiment somptuaire, et sur
ce point la fiscalité locale va trop loin. Surtout quand c'est pour
payer une armée mexicaine de fonctionnaires comme c'est le cas à la
mairie de Tarbes (cf. rapport cour régionale des comptes)! Le pire
c'est que je n'en veux absolument pas à ces derniers car ils n'ont fait
que répondre à une offre d'emploi du secteur public, mais j'ai une dent
contre tous les élus reconnus sur ce point irresponsables ou bien
susceptibles de le devenir. Et je vous avoue avoir gardé un très
cuisant et mauvais souvenir de la gestion des RH et financière de la
mairie par la gauche d'avant 2001...! donc merci de ne pas reproduire
l'erreur car ça nous coûte et ça fait reculer la ville. Pour enfoncer
le clou, partout on dit rénovation nécessaire pour la gauche: commencez
déjà par vous attaquer à ce travers et vous deviendrez des
gestionnaires enfin crédibles! Je compte ur le bon sens de Jean Glavany
et Chantal Rodrigo sur ce point.
bonne journée
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